Je suis le genre de
personne qui se retrouve souvent à aller au cinéma seule, faute de trouver
comparse chaud à l’idée de voir les films qui m’allument (bref, je ne cours pas
vraiment les box-offices.)
Mais, parce que je
suis la meilleure petite copine que la Terre n’ait jamais porté (hihi), c’est
en énonçant le barbare que la bande-annonce évoque que je me dirige, pour mon
copain, vers l’écoute de Hunger Games.
C’était il y a 1 mois.
Depuis, j’ai revu le film une deuxième fois ainsi que terminé les trois romans.
Cet univers a presqu’envahi
ma vie. Les trois tomes ont monopolisés une partie de ma sociabilité en public,
mon rendement au travail ainsi que certaines heures, essentielles à un teint de
pêche, de sommeil.
Si je laissais couler
l’eau un petit peu trop longtemps lors de mon brossage de dents, une voix
intérieure me rappelait qu’au District 12 ils me lapideraient pour un tel
geste!
Pour ceux n’ayant pas
encore découvert Hunger Games, bah je ne vous dis rien. Vous DEVEZ lire les
romans ainsi que voir les films. Ensuite, vous reviendrez lire mes quelques
lignes afin de comprendre ma dernière phrase.
Bref, grâce à Peeta, à
la critique entre les lignes de la société actuelle quant au voyeurisme des
gens, à la caméra à l’épaule présente dans le film, au fait que je voyais
rarement venir la suite des événements
dans les romans, cet univers est devenu partie intégrante de mes pensées et
conversations le temps de quelques semaines.
Mais c’est aussi, même
surtout, car au delà du fait que ça fait du bien de voir une jeune femme porter
une telle histoire (devenue un succès box-office mondial) sur ses épaules, ça
fait du bien de voir une jeune femme très loin d’être parfaite au centre de
l’action.
C’est réaliste et
rassurant de voir, même de manière fictionnelle, que nous n’avons pas
nécessairement besoin d’être logique et émotionnellement stable pour presque
dominer le monde. (Bon, je résume de manière trop grossière ici!) Beaucoup de
la bataille afin d’égaliser les droits des femmes a été fait, mais il y a encore du chemin à faire. Et des
immenses succès porté par une femme, comme celui-ci, n’empêche que c’est
inspirant pour plusieurs
Bref, bonne lecture!
Karine Côté-Andreetti
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