mardi 20 mars 2012

Karine et le deuil

Il y a un principe de magasinage que plusieurs femmes (et je m’inclus à 348% dans cette statistique maison) ont de la difficulté à appliquer :  Faire le deuil d’un vêtement coup de cœur qui nous avantage autant qu’un sac à poubelle.

Je connais mon corps (je vis tout de même avec en permanence, nous avons pu développer quelques affinités) et je crois savoir ce qui le met en valeur selon mon style. Là n’est pas le problème exposé ici. Non. C’est l’acceptation ma lacune. Vivre avec le fait que le plus beau vêtement du monde depuis quelques heures (car, inutile de mentir, nous trouverons sûrement le nouveau plus beau morceau du monde dans quelques jours) n’a pas été fait sur mesure pour nous.

Je suis du genre, après essayage catastrophique, à vouloir forcer trop. Je pense à des alternatives, je retourne l’essayer encore; bref, je frôle le pathétisme. Pourtant, ce cheminement de deuil repose sur un fait indiscutable; 

ÇA NE ME FAIT PAS BIEN. Point final.

Je ne possède pas un corps parfait me permettant de butiner d’un style à l’autre et de porter n’importe quels bouts de tissus. D’ailleurs, j’aimerais consacrer cette phrase à détester ouvertement toutes celles qui le peuvent.

Magasiner, c’est émotif.

Faites vous confiance et ne réfutez pas votre première impression.
Soyez fortes! 

Karine

@k_c_a

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